Face au risque de « quasi-monopole » dans la restauration des aéroports parisiens pointé par l’Autorité de la concurrence, le groupe ADP défend l’accord de co-entreprise conclu avec une société britannique, SSP, comme un « modèle communément mis en œuvre ». ADP et SSP entendent démontrer auprès de l’Autorité « les effets attendus de l’opération pour les passagers et les bénéfices qui en résulteront sur la maîtrise des tarifs et la qualité de service » mais « si ce projet ne devait pas voir le jour sous sa forme ici envisagée, le groupe ADP conserverait la pleine maîtrise de son système commercial ». Laissons donc cette co-entreprise faire ses preuves.
LG