Le GNI, qui revendique 12.016 entreprises indépendantes de l’hôtellerie-restauration adhérentes, le SNRPO (chaînes de restauration libre-service, cafétérias, 1.116 établissements adhérents) et le SNRTC (restauration thématique et commerciale, 1.930 adhérents) ont annoncé fusionner en une nouvelle organisation professionnelle dénommée le Groupement des Hôtelleries et Restaurations de France (GHR). Ce qui a le don d’agacer le tout nouveau président de l’Umih, Thierry Marx. « L’union de tous les acteurs est un gage de responsabilité et d’efficacité, mais soyons clairs : pas à n’importe quel prix, et surtout pas, au prix d’un mariage forcé avec qui que ce soit. » Lors d’un message vidéo diffusé au congrès du GNI, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, avait appelé « d’autres organisations professionnelles à rejoindre le GHR ». Mais Thierry Marx rappelle que « la maison commune existe déjà, elle a des fondations solides, on accueille tout le monde et on s’appelle l’Umih, tout simplement ». En toute « umihlité ».
LG